Paris sous la pluie et visite de galeries

S’élancer dans les rues du Marais, cartographie des expositions en poche, la journée s’annonce sport. Finalement rattrapé par le mauvais temps, ma tournée c’est écourté. Alors, Paris sous la pluie et visite de galeries (quand même). En route pour un petit tour d’horizon de quelques expositions qui viennent de débuter.

galerie-marine-veilleux-parisgalerie-marine-veilleux-paris1.Coup de ❤  à la Galerie Marine Veilleux.  Pour ce deuxième temps d’un cycle de rendez-vous collectifs, #2 Long distance communication réunit les travaux de huit artistes. Ils dialoguent, parfois de manière inattendue, entre eux et avec le lieu, le révèlent et le creusent (Julie Fischer), l’interrogent (Josué Z.Rauscher) et le transforment (Lena Amuat & Zoë Meyer).

#2 Long distance communication, avec : Lena Amuat & Zoë Meyer, Sylvain Bourget, Julie Fischer, François Maurin, Daniel Otero Torres, Félix Pinquier et Josué Z. Rauscher, sur une proposition de Mathieu Armez Hermoso/ Yellow Bird et à voir ou à revoir à la Galerie Marine Veilleux jusqu’au 28 février 2016.


Galerie-patricia-dorfmann-parisGalerie-patricia-dorfmann-paris2. Créatures issues de notre imaginaire enfantin, études maladroites et nerveuses d’animaux en passant par la monstruosité des corps représentés. Dogs from hell une exposition collective à la Galerie Patricia Dorfmann présente les travaux de douze artistes qui interrogent et manipulent de façon singulière la figure animale, au centre de l’exposition.

Dogs from hell, avec: Mohamed Ben Slama, Laura Bottereau et Marine Fiquet, Eric Corne, Damien Deroubaix, Vanessa Fannuele, Myriam Mechta, Françoise Pétrovitch, Skall, Adrien Vermont, Jean-Luc Verna et Gretel Weyer, une proposition de Julie Crenn qui a lieu jusqu’au 27 février 2016 à la Galerie Patricia Dorfmann.


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3. Plans, annotations, codes couleurs. Larissa Fassler réinvente les cartographies des lieux emblématiques de Paris. Avec Worlds Inside, présentée à la Galerie Jérôme Poggi, le point de vue architectural des plans, laisse place à celui plus sensoriel, fait de constats et d’observations de notre comportement dans les lieux public.

Worlds Inside, une exposition personnelle de Larissa Fassler, c’est à la Galerie Jérôme Poggi jusqu’au 27 février 2016.


Je n’ai bien entendu pas eu le temps de tout voir. C’est une bonne raison de revenir m’adonner à mon plaisir favoris. On se voit samedi dans les galeries?

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